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11 avril : "Mademoiselle Holmes" sur TF1

Mademoiselle Holmes est une nouvelle série holmésienne diffusée sur TF1 à partir du jeudi 11 avril 2024. Comment imaginer que Charlie (Lola Dewaere), 36 ans, flic discrète et timide qui vit toujours chez son grand-père (Daniel Prévost), est la descendante du célèbre Sherlock Holmes…?! Jusqu'au jour où, percutée par une voiture, elle a un déclic. La Charlie sans saveur et inhibée déborde soudain d'énergie. Pour la première fois, elle croque la vie à pleines dents. Son intelligence et son empathie hors normes font d'elle une flic aussi brillante qu’imprévisible. En rencontrant Samy (Tom Villa), celui qui va devenir son Watson, Charlie va enfin s'assumer en tant que flic, femme... et Holmes ! .


Dans cette série très librement inspirée de l'univers de Sherlock Holmes, Lola Dewaere interprète le rôle de Mademoiselle Holmes et plus exactement, le personnage de Charlie Holmes pour 6 épisodes de 52 minutes. Une série produite par Newen Studios, producteur de fictions et de documentaires. Le comédien et humoriste Tom Villa est son "docteur Watson". Cette série a été tournée à Nantes en Loire Atlantique ainsi qu'à Londres au Royaume-uni.


Mademoiselle Holmes - Saison 1 Épisode 1 : On ouvre ses chakras ! Charlie, flic discrète, a été percutée par une voiture. A son réveil, celle qui était jusque-là cantonnée au bureau des plaintes, est soudain pleine d'énergie. Elle s'incruste sur l'enquête de Chris, chargé de retrouver Anna, une fillette disparue. Entraînant au passage Samy, le stagiaire de la brigade, Charlie décide de se rendre au centre de yoga, où vivent Anna et sa maman. La mère d'Anna vit sous l'emprise de son conjoint Fabrice, qui dirige le centre. Lorsqu'ils découvrent qu'Anna est atteinte de diabète, ils comprennent que la fillette n'a pas été kidnappée, mais que sa mère la cache, dans l'espoir de la faire soigner par un médecin compétent...

Diffusion : le jeudi 11 avril sur TF1 (si vous ne pouvez attendre et si vous êtes belge, l'épisode sera diffusé le mardi 2 avril à 21h30 sur RTL TVI).


Épisode 2 : #Recherchek-Lista

Le père de K-Lista, une influenceuse de 22 ans, vient signaler la disparition de sa fille. Samy et Charlie se rendent à son domicile pour faire les premières constatations. Après la découverte d'une trace de sang, Chris suspecte immédiatement le père de la jeune femme. Charlie, de son côté, se plonge dans les réseaux sociaux pour tenter d'en savoir plus sur la victime. Avec Samy, elle explore les dessous du monde des influenceurs, persuadée qu'il s'agit d'une disparition volontaire. Mais le corps sans vie de K-Lista est retrouvé, donnant raison à Chris. Charlie et Samy soupçonne Eva, la timide assistante de K-Lista, d'avoir assassiné sa patronne pour prendre sa place. Ils vont tout faire pour tenter de le prouver...

Diffusion : le jeudi 11 avril sur TF1 (mardi 2 avril à 22h30 sur RTL TVI).


Épisode 3 : Sortie de route

Nicolas, un ami de jeunesse de Charlie, l'appelle à l'aide alors qu'il vient d'avoir un accident de voiture, tragique pour Anthony, le mari de sa sœur, qui était au volant. Accident mortel ou sabotage ? Lorsqu'ils découvrent qu'Anthony menait une double vie et que sa femme était criblée de dette, Charlie et Chris s'accordent pour la première fois : cette dernière a assassiné son mari pour toucher l'argent de l'assurance. Plongée dans l'univers des voitures de collection, Charlie va faire appel à l'énergique Muriel, la sœur de la commissaire Billon, ancienne flic reconvertie dans le privé, se mettant ainsi à dos le reste de la brigade...

Diffusion : le jeudi 18 avril sur TF1.


Épisode 4 : Baker Street

Déterminée à aller à la rencontre de sa demi-sœur, Charlie part à Londres, accompagnée de Samy. En pleine visite du musée de Sherlock Holmes, Charlie rencontre Tracy Sheraton, une jeune fille psychotique, qui la supplie de l'aider : le fantôme de sa sœur serait venu la prévenir qu'elle courait un grand danger. Pour ses parents, Betty, actrice célèbre, et Joseph, père au foyer dévoué, le comportement erratique de Tracy ressemble en tous points aux premiers signes de démence de leur fille aînée Emma qui s'est suicidée trois ans plus tôt. Fragilisée par la rencontre avec April Moriarty, sa demi-sœur, qui ne se passe pas comme elle l'espérait, Charlie se réfugie dans les bras de Samy...

Diffusion : le jeudi 18 avril sur TF1.


Épisode 5 : - 20 degrés

Jiyoung, une jeune maître glacière, est retrouvée morte gelée dans le surgélateur de l'usine de glaces où elle travaille. Tandis que Chris se lance sur la piste des relations professionnelles houleuses de la victime, Charlie, elle, essaie de comprendre qui était Jiyoung et découvre que la scène de crime est une séance de cryothérapie improvisée qui aurait mal tourné. L'enquête finit par révéler que Jiyoung entretenait une relation extra-conjugale avec Vincent, le directeur de l'usine, qui passe en tête de la liste des suspects pour Chris. Lâchée par Samy, qui vit mal l'attitude de Charlie depuis leur retour de Londres, Charlie patauge...

Diffusion : le jeudi 25 avril sur TF1.


Épisode 6 : Le Dernier problème

George se retrouve dans le coma après une tentative de meurtre. Charlie et toute l'équipe se mobilisent pour tenter de retrouver le coupable. Chris explore la piste d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Billon, quant à lui, fait tout pour éloigner Charlie. Mais avec l'aide de Samy, elle est bien déterminée à faire la lumière sur la tentative de meurtre qui a visé son grand-père. Une véritable course contre la montre commence...

Diffusion : le jeudi 25 avril sur TF1.


Distribution

Interprètes

Rôles

Charlie Holmes [RP]

Samy Vatel [RP]

Georges Holmes [Part]

Chris Hervieu [SR]

Florence Billon [SR]

Le médecin [PR]




"Nous nous sommes éloignés de Sherlock Holmes"

Mademoiselle Holmes - Interview de Lola Dewaere


Arrière-petite-fille du grand Sherlock Holmes… un héritage lourd à porter pour la timide Charlie. Mais après un accident, la discrète jeune femme va se révéler être une enquêtrice hors pair aux facultés étonnantes. Lola Dewaere, son interprète, nous en dit plus.


Vous avez joué plusieurs rôles de flics. Qu’est-ce qui vous a plu dans ce projet ? J’adore l’univers de Sherlock Holmes et j’ai aimé que Charlie soit une descendante du célèbre détective. Créer une version féminine et contemporaine de cet illustre personnage offrait un point de départ original. Mademoiselle Holmes alterne drame et comédie, à l’image de certaines séries anglaises qui mélangent les genres avec talent. Le personnage de Charlie s’y prête particulièrement bien. On ne me propose pas ce type de rôle habituellement.





Vous êtes-vous replongée dans l’univers du célèbre détective ? Je n’en ai pas ressenti le besoin car cette série est une adaptation très libre, une vraie création. Nous nous sommes vraiment éloignés de Sherlock Holmes pour étoffer le personnage. Même si du sang de Holmes coule dans ses veines, Charlie a été élevée loin de cet univers. Excepté sa capacité fulgurante à résoudre des enquêtes, elle a son identité à part entière et trouve d’ailleurs les réponses grâce à son sens de l’humain, une sensibilité et une empathie qui la démarquent nettement de son aïeul.






Comment la décririez-vous ? Charlie est une femme discrète et maladroite, qui a été élevée par son grand-père dans une maison un peu poussiéreuse, au rythme de ses cours de violon. Elle travaille dans la police mais est reléguée aux délits mineurs. Evoluer dans ce monde d’hommes est déjà difficile pour une femme, mais encore plus pour elle qui est considérée uniquement comme la petite-fille embarrassante de l’ancien patron. Suite à un accident, elle reste quelques jours dans le coma à l’hôpital et ne prend pas son traitement contre ses troubles de l’humeur. A son réveil, elle va décider de l’arrêter complètement.





Pour quelles raisons ? Elle découvre des aptitudes qu’elle ne soupçonnait pas. Tout se réveille en elle : ses capacités d’enquêtrice, ses sens, sa sexualité… Son ultra-sensibilité était réduite par son traitement et elle était comme anesthésiée. Elle se rend compte qu’elle est passée à côté de plein de choses et ne veut plus être la Charlie fade et sans couleurs. Au contraire, elle cherche à rattraper le temps perdu et à vivre pleinement sa vie par le prisme de l’émotion. Au début, tout est génial, mais il n’y a malheureusement pas que des bons côtés : elle ressent tout intensément, le bon comme le mauvais… et ça peut faire très mal ! Totalement submergée par ses sensations, elle passe de phases de joies immenses à d’énormes peines. Certes, elle résout des enquêtes, mais elle mélange tout et part dans tous les sens. Est-ce une bonne chose d’avoir arrêté son traitement ? Elle se pose la question car elle vit en parallèle beaucoup de moments compliqués et épuisants pour elle et son entourage. Heureusement, Samy, son acolyte, est là pour l’aider.






Charlie a un vrai côté décalé. Comment avez-vous cherché à le traduire ?

Charlie est dotée d’une grande empathie et d’une hypersensibilité, tous ses sens sont surdéveloppés… mais elle n’a pas de superpouvoirs, même si je considère que l’ultra-sensibilité en est un ! Jouer ses sensations de manière trop marquée aurait rapidement pu devenir ridicule. Tout le travail a consisté à ne pas franchir la limite. Je m’interroge toujours beaucoup sur mes interprétations mais encore plus avec ce personnage. Je me suis vraiment appuyée sur les réalisateurs et la productrice Cyrielle Mottin, en leur demandant notamment comment ce serait matérialisé au montage. Il a fallu réaliser un travail minutieux pour obtenir un résultat subtil qui ne soit pas caricatural. C’était un pari risqué pour moi mais aussi un super challenge de comédie. Le contraste avec le personnage de Tom Villa, qui est la voix de la raison, m’a beaucoup aidée aussi.


Vous sentez-vous proche de votre personnage ?

Je me pose encore la question ! Nous sommes différentes mais comme elle, je peux partir au quart de tour, parler très vite ou encore donner un coup à quelqu’un sans le faire exprès… Je sais aussi ce que ça signifie de grandir auprès de personnes âgées puisque j’ai été élevée par mes grands-parents. J’ai forcément puisé en moi, dans mes références de vie, mais plutôt inconsciemment.


Le personnage a conservé de son ancêtre son goût pour la musique et le violon…

Oui, j’ai pris quelques cours. J’ai des bases de piano mais le violon m’était complètement inconnu. Je ne sais pas qui a inventé cet instrument mais c’est un malade mental… c’est hyper difficile ! En plus, le morceau de musique sur lequel mon personnage a des réminiscences est très rapide, presque comme du folklore irlandais. J’ai travaillé mais il faut croire que je ne suis pas douée ! Au final, les monteurs s’en sont très bien sortis : on a vraiment l’impression que je joue bien !





Quel souvenir conservez-vous du tournage ?

Plus je vieillis et plus je deviens casanière ! Le soir, j’aime retrouver mon lit, mon oreiller… Ma chienne de 2 ans m’accompagne sur tous mes tournages et m’équilibre beaucoup. Je suis une grande angoissée mais j’arrive en général plutôt détendue sur les tournages. Cette fois, j’étais très stressée. Je ressentais un gros poids sur mes épaules car il s’agissait d’un lancement et on ne sait jamais si le personnage va plaire. Savoir que Frédéric Berthe réaliserait les premiers épisodes m’a beaucoup rassurée. Nous avons travaillé plusieurs fois ensemble, notamment sur Astrid et Raphaëlle. C’était aussi le cas pour François Ryckelynck, qui était son premier assistant sur la série, et j’avais tourné avec Tom Villa dans un épisode de la saison 4. Au final, j’ai eu le sentiment de travailler entre copains et nous avons beaucoup ri. Charlie est un personnage assez épuisant mais il m’offre tellement de choses à jouer que je me suis vraiment éclatée ! Je faisais 10 impro par seconde, c’est tout à fait ce qu’il me faut. La série a encore beaucoup à offrir. J’attends une suite avec impatience !



La SSHF donne des précisions canoniques au quotidien Le Parisien










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8 Comments


Le quatrième épisode diffusé hier, intitulé je crois, "Baker Street", m'a désespérée. Lola Dewaere cabotine, presque tout le monde joue mal, l'intrigue n'est pas crédible, les accents anglais des comédiens français sont affligeants. Mademoiselle Holmes apprend qu'elle est *ATTENTION SPOILER* la fille d'Alexander Moriarty... Du grand n'importe quoi... Triste. Dommage.

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A J moins un de la diffusion française des deux premiers épisodes, ça plombe l'ambiance, mais je le sentais venir... Merci pour l'info.

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nicolas maurel-lalague
nicolas maurel-lalague
Feb 26, 2023

je pense que le jour où on fera film ou serie avec courge holmes , des membres du

club , le verront et certains trouveront des qualites mais pour la nouvelle serie

attendons de voir , de bonnes surprises ne sont pas impossibles

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Marianne Stjepanovic
Marianne Stjepanovic
Feb 26, 2023
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Soyons optimistes, le pire n'est pas toujours certain :)

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Marianne Stjepanovic
Marianne Stjepanovic
Feb 26, 2023

J'aime bien Lola Dewaere, ce qui n'augure en rien de la qualité de la série, mais c'est déjà bien quand on apprécie l'interprète ! 😉

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nicolas maurel-lalague
nicolas maurel-lalague
Feb 26, 2023

nous verrons puis ...

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Valentin/Sherlock
Valentin/Sherlock
Feb 25, 2023

L'idée d'un Sherlock Holmes français et féminin n'est pas si mauvaise !


Je pense même que TF1 relève le défi de diffuser une série policière à la sauce française sur les enquêtes du plus fin limier de tous les temps, même si la chaine ne la produit pas. C'est mon opinion !


Puisqu'il y a eu en Angleterre la série de la BBC SHERLOCK avec Benedict Cumberbatch et aux Etats-Unis la série de CBS ELEMENTARY avec Johnny Lee Miller, deux feuilletons à succès, la France est tout à fait capable, comme les deux autres pays précités, de faire une série librement inspirée de l'œuvre de Conan Doyle, à partir du moment où il y a un fil conducteur solide. C'est…


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